mardi 19 février 2013

Week-end à Pondichéry

En ce vendredi 8 février, toute la troupe a décidé de prendre le large, direction Pondichéry. 

Après 3h de bus, un bon filet de bœuf beurre maître d'hôtel, une nuit dans une Guest House plutôt top et un petit déjeuner à Baker Street, dans une boulangerie française, notre curiosité nous emmène à Auroville ! 
Ici vie une communauté sectaire fondée par une française (appelée "la Mère") en 1968. Dans cette "ville", on est censé voir 1800 habitants de 40 nationalités différentes, qui cherchent une échappatoire rurale. 

Symbole de cette communauté, le Matrimandir, est une sphère dorée qui se voudrait futuriste. Elle comprend  une salle tapissée de marbre blanc renfermant le plus gros diamant au monde (70 cm de diamètre). Mais évidement seuls les membres d'Auroville peuvent accéder à cette pièce.


Après s'être renseigné, pour entrer à Auroville, il faut remplir tout un formulaire administratif, passer plusieurs entretiens et verser une partie de ses économies à la communauté. Un fois accepté, vous devez "contribuer sincèrement " à l'expansion d'Auroville en travaillant ( récolte du bois, agriculture, éducation des femmes, etc.) en échange d'un "salaire".


Voici un arbre à méditation, où des gens viendraient se regrouper en cercle autour de cet arbre pour méditer... 

Le "Open Air Theatre" d'Auroville, où les habitants se retrouvent pour échanger concernant les améliorations à effectuer dans la ville. Depuis la disparition de La Mère, les habitants n'ont plus vraiment de guru. La vie en communauté se passent apparemment bien puisqu'on nous a dis qu'il y a une parfaite harmonie.

Après s'être fait retourné le cerveau, une escapade dans le Pondichéry français s'imposait !

En marchand le long de la plage, on passe devant une immense statue de Gandhi.


La plage n'est pas très belle du fait des nombreux petits marchands qui vous supplient de leur acheter colliers, bracelets ou autres babioles.


En rentrant un peu plus dans la ville, les bâtiments aux murs délabrés laissent place à des bâtiments au style colonial.




Notre cher consulat de France qui met un peu de couleurs dans cette ville !


Après une journée marathon, une bonne nuit s'imposait et pour finir, un dimanche à la plage !



Pour accéder à une plage moins bondée et plus propre, il faut prendre un bateau et faire une traversée de 15 minutes environ.

Pour se ressourcer, rien de tel qu'un verre au bord de la piscine du Pondich !
C'était un des dimanches les plus dur ! ;)


Après ce week-end bien sympathique, il est temps de rentrer sur Chennai pour retrouver la pollution et la foule!

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